jeudi 22 mars 2012

Memory


Et retrouvez tout de suite papyr, votre critique théâtrale parisienne, qui est allé voir pour vous la dernière pièce de théatre musical de Vincent Delerm.


Papyr : Voyez-vous, vincent delerm c'est un peu comme la languette sur les pots de flamby, c'est des petits riens, des impressions, des petits détails inutiles mais qui donnent aux choses une saveur différente.


Papyr : Vincent delerm, c'est comme quand on se souvient avec nostalgie les premiers jeux et les premiers amours de notre enfance. L'image d'un festival de cookie en 1923, les images en noir et blanc, joe dassin, etc...


Papyr : Les pièces de vincent delerm c'est le seul endroit au monde où l'on peut prendre du plaisir à revoir les porte-rideaux en plastique de toutes les couleurs que tout le monde avait dans les années 90. Le seul endroit où un ralenti en noir et blanc d'un concours d'athletisme des années 20 prend tout son sens...


Papyr : Voilà, vincent delerm, c'est des souvenirs...

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